
Et si c’était la moisissure, depuis le début ?
Pendant longtemps, j’ai cru que mes recherches sur le syndrome d’activation des mastocytes (SAMA/MCAS) et l’intolérance à l’histamine étaient purement professionnelles.
Je me plongeais dans les études, les cas cliniques, les mécanismes biologiques… avec passion, bien sûr, mais toujours en pensant que je le faisais pour les autres. Pour aider mes clients à mieux comprendre leurs réactions. Pour bâtir des solutions plus justes, plus adaptées, plus concrètes.
Mais un jour, une petite fissure s’est ouverte dans cette belle illusion.
J’ai réalisé que derrière toutes ces heures d’analyse et d’exploration se cachait une autre quête. Une quête bien plus intime. Je cherchais des réponses à MES propres symptômes. Des symptômes que je m’étais habituée à banaliser, à rationaliser. Parce que, comme beaucoup, je me pensais « plus forte que ça ».
L’ennemi invisible : celui qu’on héberge sans le savoir
Je me suis toujours vue comme résistante. Le genre de personne qui ne tombe pas facilement malade, qui rebondit vite, qui ne se laisse pas atteindre par les petits tracas du quotidien.
Les moisissures ? Franchement, je n’y avais jamais vraiment prêté attention. Il y en avait parfois sur mes plantes, un peu dans mon vieux campeur après une infiltration d’eau… rien de bien dramatique.
On savait qu’il fallait rénover, qu’il y avait de l’humidité à gérer, mais jamais je n’aurais imaginé que ces « petites » expositions pouvaient s’imprimer en moi. Littéralement. Et modifier mon terrain.
Pourtant, c’est exactement ce qui s’est passé.
Sans que je le voie venir, mon corps a commencé à parler : insomnie, rougeurs, anxiété, palpitations, brouillard mental. Des manifestations subtiles, mais persistantes. Et de plus en plus coriaces.
Ce n’est qu’en croisant les données, en superposant mes propres observations à celles de mes clients, que le déclic s’est fait : la moisissure faisait partie du tableau. Pas en tant qu’actrice principale, mais comme déclencheur insidieux. Comme perturbateur de fond. Comme facteur inflammatoire silencieux.
Et toi, t’as vérifié ton environnement ?
Quand on parle de santé, on pense alimentation, hormones, émotions… Mais on oublie souvent ce qui nous entoure. Ce que l’on respire. Ce à quoi on est exposé tous les jours, sans même y prêter attention.
Or, l’environnement est parfois le chaînon manquant dans l’équation.
Les moisissures ne sont pas toujours visibles. Elles peuvent se loger dans les murs, les climatiseurs, les meubles, les tissus, les recoins humides d’un logement ou d’un véhicule. Et leur impact est bien réel, surtout chez les personnes à terrain sensible (mastocytes, histamine, système immunitaire réactif…).
Je le dis aujourd’hui avec clarté : on ne peut pas faire l’économie de cette réflexion. Il ne suffit pas de manger sans gluten ou de prendre des probiotiques. Si l’environnement reste inflammatoire, c’est comme remplir un seau percé.
En conclusion
Si tu vis avec des symptômes diffus, changeants, qui résistent aux interventions classiques… pose-toi cette question simple :
Et si ce n’était pas toi le problème, mais ce qui t’entoure ?
Tu veux aller plus loin dans cette démarche et apprendre à décoder les signaux de ton corps ? Je t’accompagne à chaque étape.
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🛠️ Et surtout, n’oublie pas : comprendre, c’est déjà commencer à guérir.
À tes côtés, vers la santé et l’harmonie,
✨ Kathleen Tremblay, ND. PhyD. K.in.
🧩 Ton décrypteur santé
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